" Qui vivra verra. "

La solitude m'enveloppe dans son cocon, indéniablement. Le seul sentiment à m'atteindre encore n'est plus que cette joie, menteuse, superficielle, ou juste un petit peu réelle, je ne sais pas. Je ne sais rien, ne suis rien.

[*] J'en suis ivre.

" ... Et là, le peintre dit au croque mort " Si tu me fais un prix, je te peinds une nature morte. " Ha ha ha ! "
- Vive Lucky Luck. -

" - Vous êtes aussi pourris que vos dictons !
- Evidemment que veux tu, nous sommes les méchants. "
- Et Pokémon. -

[Et les paparazzis ont même pas été foutus de faire une bonne photo de nous tous ... *pensée pour Morgan, Stan ou Bastien ... C'était de la persécution ! >_<]

[A.]J'aime bien lui piquer ses phrases et elle déteste ça. [M.]J'aime bien lui décharger son Ipod et il déteste ça. [M.]J'aime bien lui répondre " gueule " quand il me dit " ta gueule " et il déteste ça. [M.]J'aime bien l'appeler " Crotte " et elle déteste ça. [O.]Il aime me squatter mon piranha et je déteste ça. Ou pas.
C'est comme si on faisait semblant. Cette connerie qui nous lie tous les uns des autres, cette routine qu'on a construite en souriant, j'y tiens.

Eux [L].

Ne vis plus que pour les vendredis soirs, pour leurs sourires, leurs blagues même pas drôles, leurs discussions geek auxquelles je comprends foutrement rien. Qu'ils squattent, qu'ils squattent, tous autant qu'ils sont, ma maman leur fera des bons gâteaux et on regardera des DVDs pourris, sans les regarder parce qu'on fait trop de bordel.

I'M NEW YORK THE BIG APPLE ! THE STATUE OF LIBERTY !

Y a que mon Tonton Stani pour réussir encore à me faire voler rien qu'avec un câlin. Tellement heureuse de l'avoir revu. Je l'aime. <3

♪ Djembé man, oh tu joues mal ! ♪

Aujourd'hui, ma tante a surpris son chien en train de manger le perroquet qu'on lui avait donné à garder. Pour le punir, elle a mis ce qui restait du perroquet au congélateur et, désormais, elle lui tape dessus avec le volatile congelé en criant : "Regarde ce que tu as fait !" VDM

VIE DE MERDE [ooo]

- Merci qui ?
- Merci Ani !

Passer nos soirées en nolife sur ce site, à écouter Pamplemousse Mécanique. ♪♫♪

Photo : Dans la série " A. se cache. " xD [Lexiou snife du poivre dans l'assiette des autres et se bouffe une table quand elle rigole avec Fliper et ses amis xD]

Vlan, un an de plus dans ta face.

"
[...]
Que je t'aimerai toujours
A la folie. [...]
"

Je pense que les mots ne valent plus rien, aujourd'hui. Alors il me suffirait peut être d'un simple sourire, mais au fond de moi, je sais que tu ne me l'offriras plus, celui que j'attends. Rien qu'aujourd'hui, je vais ignorer cette douleur lancinante, parce que ce jour est un jour spécial, du moins pour moi.

" La mélodie va bientôt s'endormir, avec mes souvenirs. "

Ne m'oublies plus, c'est tout ce que j'ose encore te demander. Car je sais l'abandon comme notre seule issue, je n'en serais pas déçue. Garder simplement une place dans ton cœur, enfouie dans une mémoire, sous la couche de poussière qui grandit d'années en années. S'il te plait. [.]

La solitude te va si mal, A.

Le feu de la cheminée est une source inépuisable d'inspiration. J'aime. Une foule d'histoires à écrire, de musiques à jouer, de sourires à offrir, de chansons à chanter, de romans à lire, de liens à renouer, de larmes à fuir et d'air à respirer. Une vie bien trop courte à mon gout. Textes à venir ; je m'ennuie. Me languis. Sans verser la moindre larme, je pleure. Il faut dire que ce que mes rêves n'osent qu'effleurer me tourne le dos.

Je crois que je suis misanthrope. Mais d'une personne en particulier.

Les instants de faiblesse me poignardent avec une fausse lassitude qui ronge, peu à peu, ce qu'il reste d'A.

- De ton ciel, voit-on aussi bien les étoiles ?
Je riposte à son faux romantisme d'une voix qui se veut tranchante.
- Non. Chez moi, la lune est grise, et les étoiles si petites qu'on les confond avec des grains de poussière qui se déposeraient sur les yeux sans même qu'on s'en aperçoive.
- Alors profite. Ici, le ciel pétille grâce à ces touches lumineuses qui y dansent au gré du vent. Certains se cachent derrière les nuages comme là bas, tu vois ? Et la lune, oh quelle magnifique lune !, illumine la nuit grâce à son rayonnement blafard.
Je soupirai d'aise en sentant ses bras me serrer contre son corps. J'avais perdu, de nouveau.

" Serions nous idiotes, nous aussi ? "

[...]

Nos vies sont belles, finalement.

Et même si tu m'as fait passé une aprèm de dingue, je te liebe. P'tite Bob ;-]

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Sur le trampoline des sentiments, j'ai cassé les ressorts. Sur le trampoline des sentiments, j'ai cassé le bonheur.

Bon, voilà un très joli mot qu'à cet instant je n'arrive pas à traduire par des paroles qualifiants la demoiselle (ou monsieur comme elle adore qu'on l'appelle) que j'ai eu la «bonne» idée de vouloir biographier (nouveau by Ani, comment ça «Ani» souligné en rouge ?!? J'en connais un qui va s'en prendre dans la gueule !! ). Hurm, donc :

Je me souviendrais toujours le moment de ma rencontre avec cette personne ou plutôt l'instant où je l'ai découverte. C'était un mercredi, je venais de faire irruption en salle de maths (qui deviendra par la suite notre endroit de prédilection) et m'asseyant je recherchais du regard quelqu'un qui pourrait devenir une «connaissance» dans la classe où je venais de débarquer. Puis j'observais cette étrange fille deux rangs devant moi avec une pince bizarroïde dans les cheveux, absorbée par les paroles de cette femme à la salive indocile (c'est poétique non?) mais c'est seulement à la fin de la semaine qu'en m'asseyant sur un banc avec elle que je connus vraiment cette personne. Racontant goûts musicaux, nos boutiques magiques et autres points communs qui me fit penser que je me parlais à moi-même. Puis, plus le temps passait et plus je connaissais et reconnaissais cette fameuse curiosité qui devenait mon amie.

Je suis sûre que si vous la verriez vous diriez qu'elle est étrange voir même excentrique avec son manteau vert (en poil de gnomes), ses cheveux roux (bon d'accord châtains bizarre) tombant sur son écharpe coloré et voyant également sa pince en forme de piranha (merci le correcteur!) ou encore son pantalon bordeaux et ses chaussures parsemées de smileys et de fleurs. Cependant, ce que vous ne verrez pas c'est que cette «chose» à un cœur et ne s'appelle pas Shrek (désolé j'viens juste de le regarder). Cette adolescente est âgée de 15 ans (et demi !), et comme tous les jeunes de son âge elle veut être différente sauf qu'elle, elle ne cherche pas à avoir la meilleure paire de boucles d'oreilles ou alors le dernier Ipod («Ipomée», n'importe quoi.) mais je peux vous dire qu'elle est unique et que ça personne ne pourra le changer. Elle, elle ne se recroqueville pas dans la boisson ou les herbes aromatique (bien qu'elle en soit tout de même très frillante) mais dans une chose qui la fait vibrer, respirer allant même jusqu'à la garder en vie : l'écriture. Il faut aussi dire que c'est une inconditionnelle du français ou plutôt des cours en général, mais surtout du français oui. Quand on lui propose un sujet contre la guerre n'ayez crainte, vous pourrez être sûr qu'elle vous ramenera un 20 (saloperie !!). Depuis le jour où elle a su tenir un stylo elle écrit, et réécrit des aventures surréalistes mais ayant toujours un rapport avec sa propre vie. Oui, parce que ce que vous ne savez pas non plus c'est qu'elle est dotée d'une incroyable créativité, elle peut écrire des romans sur ce que vous voulez (bon sur les expériences homosexuelles elle peut écrire des encyclopédies, oui, elle aime les mangas pornos !!) mais avant tout, dans ces écrits, elle parle d'elle, de ses expériences, de sa vie. Chaque personnage ou anecdotes  est directement inspirée de ses exploits, de ses craintes, ses joies, ses peines, de coeur aussi...  Combien de fois son coeur a été brisé ? Pas seulement par un amant mais aussi par des paroles, des gestes. Combien ? Elle-même ne les compte plus, mais elle garde l'immense sourire qui inonde son visage chaque jour et qui laisse échapper des «Bonjour !», ou des «Ani !!!» ou encore des «Smile !!». Elle oublie ses tracas dans des délires psychopatiques (new mot encore yeah !) et dans un sadisme inespéré qui fera mettre à genou une autre demoiselle qui l'appellerai «Maitresse» (non je vous rassure c'est pas moi, j'suis pas assez débile.) Quand on la voit, qui pourrait la détester ? La haïr ? Et bien cela arrive. Mais moi, je ne le ferai pas. Je ne pourrais pas. Car, vous savez, combien de fois avons-nous ris ensemble ? Sur une histoire débile ? Des anecdotes rasoirs ? Des rêves ? Ou encore des jeux de mots dont nous seules avons le secret ? Des milliers. Combien de fois avons-nous contempler des objets, baver devant des prof's, manger des horreur, ou alors jouer aux cartes avec nos amis ? Des milliers. Mais surtout, combien de fois m'a-t-elle réconforter ? Prise dans ses bras en me disant qu'elle serait là ? Regarder avec ses grands yeux bleu-vert en me demandant ce qui n'allait pas, quand mon sourire se faisait faux bond à cause d'une absurdité ? Bien plus que des milliers de fois.

Vous voyez, des personnes comme ça dans votre vie, vous en connaîtrez. Des dizaines, des centaines qui sait ? Ils vous feront rire, pleurer, vous serrerons dans leurs bras en vous disant qu'ils seront là pour toujours, vous inviterons chez eux, puis vous laisserons. Moi, j'en ai connu plusieurs. Mais aucunes d'entre-elle n'égalera la personne dont je viens de vous conter l'histoire. Aucune d'entre-elle ne m'a jamais fais parier des Shokobons, vider ma trousse entière sur une table d'étude, en faire l'inventaire et voir le proviseur arrivé, fait danser dans la file d'attente de la cantine, fait chanter dans la cour, fait rigoler grâce à simple regarde face aux gestes du professeur de sport, me donner l'envie de sourire. Mais surtout et avant tout : m'avoir donner confiance en moi. Me convaincant de monter sur une barre qui me faisait peur, me faire monter sur un mur de 7 mètres ou encore montrer mes sentiments. Cette personne, moi, je la connais, c'est mon amie.

Elle née un beau jour de mai 1993, le sourire aux lèvres et la fleur dans les cheveux. Elle, c'est Alexia. J'ai encore tellement de chose à dire mais ça, je le ferai dans notre prochain bouquin : «Alexia ou 1001 façons de devenir une hippie sataniste ».

«Minimum jusqu'à la majorité.»

C'est trop " choupinou kawai ". La photo s'imposera plus tard, une certaine personne la garde en otage dans son Iphone. J'en suis toute z'émue. Thank you, again. [•]

Yeah ça gère la fougère ! Regarde moi nos têtes de bakas x] On n'a même pas l'air débile, j'adore <3

Finalement, j'aime bien la neige. Chaque flocon représente un malheur sur Terre, j'en suis persuadée. Ils sont tombés tout le jour, et la nuit encore, il nous était impossible de ne pas la voir. Le monde devint blanc, ce matin. Pas le blanc de l'innocence, ni même celui de la pureté. Le blanc souillé par le temps, le blanc pâle, le triste. Les arbres, témoins de tant de choses, voyaient leurs branches soutenir le poids des larmes du ciel, glacées par le vent. Le froid, ardent, nous a gelé les membres un par un. Et pourtant, je crois m'en souvenir à jamais ; j'ai ri. D'un rire que je ne me connaissais plus. Aujourd'hui, sous cette neige blanche et douloureusement glaciale, vivre semblait être l'unique verbe adéquate. Si c'est ça la vie, je veux bien devenir immortelle.

" Une photo. Une de ces photos que l’on garde précieusement dans un coffre, à l’abri des regards. Celles mal prises, où les sourires ne sont pas aussi beaux qu’on voudrait le faire croire. Des sourires tellement sincères dans leur bonheur qu’on pardonnerait tout pour en recevoir un comme ça. Les photos du passé. Et à l’écrivain de contempler son trésor avec mélancolie, dans le doux silence qui lui servait de refuge. Dehors, le vent soufflait si fort, frappant les murs de l’appartement avec violence. Si fort, si fort ... La photo elle-même n’eut sans doute pas entendu le « Pardon. » qui s’échappa des lèvres de l’homme. Une larme, puis deux, puis trois. Les sourires s’effacent vite, incroyablement vite. Et facilement, beaucoup trop facilement. Un sourire, un simple sourire. Il aurait pu se dire toute sa vie que son sourire à lui avait disparu à jamais, comme s’il s’était laissé enfermer dans la tombe, lui aussi. Il aurait pu scruter cette photo jusqu'à ne plus exister, en attendant que la joie passée ne reprenne souffle, comme un feu que l’on ravive. Oui, il aurait pu, continuer à écrire, à observer le temps qui passe en haussant parfois les épaules."

[ A Gravitation's fanfic. It's mine ! *** ]

Nombreuses sont ces choses que l'on désire ardemment et qui, une fois en notre possession, perdent toute leur valeur. Comme quoi, la beauté d'une quantité innombrable d'objets n'est sans doute dûe qu'à leur mystère, à l'impossibilité de les avoir pour soi : au rêve, qu'ils nous appartiennent.